Que dire d'un critique qui crée des chapelles et qui pousse à la lutte fratricide, sinon l'encourager à lire ces littératures dont son snobisme révèle sa méconnaissance ? La culture n'a jamais été un échec pour un critique.
Peut-être est-ce la littérature française qui est un aveu d'échec ?
Policier, fantastique, héroïque fantaisie, science-fiction, les littératures de genre sont des littératures codées, convenues, elles peuvent sembler ternes à des gens sans humour, mais ce sont des littératures populaires et elles sont de ces lieux où se joue la vitalité de la littérature.
Et puis, qui sait si elles ne peuvent pas redonner le goût de la lecture et de l'enchantement, même à un critique ?
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