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mercredi 11 août 2010

Pouvoir de la confusion : le trouble ?

Cet article, écrit à l'origine en 2010, est une allusion directe à la politique abusive menée par le président de la République de l'époque, mais il a des applications pratiques quotidiennes :
. Quand un homme politique veut exclure de la nation un humain, arrêté pour un délit, il pratique la confusion : commettre un délit et posséder une nationalité sont des concepts distincts. Beaucoup d'assassins et de voleurs sont de français de longue date...
. Un homme politique se signale par ses amitiés avec le monde de l'argent, il pratique la collusion, qui devient confusion quand l'amitié crée une loi taillée sur mesure...
. Le même exige une loi pour un fait divers, alors que la loi existe, il pratique encore la confusion entre la police, qui exerce la justice, et fait appliquer les lois, et le pouvoir législatif...
 Il semble que le parti du pouvoir a choisi de faire de la confusion une arme rhétorique, un cynisme chargé de trouble séduction, pour proposer le plus souvent la répétition de recettes... confuses.
  Il n'est pas de conception saine du pouvoir sans mise en œuvre de la séparation des pouvoirs.
  Les politiques actuels prétendent — avec byzantinisme — se servir de la confusion comme d'une arme et souvent, ils montrent leurs vélléités et la médiocrité d'une absence de morale. L'injustice, qu'ils mettent en œuvre à tous les niveaux de la société, est la conséquence directe de la confusion — non cynique celle-là — de leurs esprits. 
  Cette confusion peut-elle engendrer autre chose que des troubles ?
Mais, dès qu'un conflit de pouvoir se renouvelle, et c'est mon cas depuis quelques jours, l'adversaire se dresse soudain, et il déclare mauvais les concurrents, il sème la confusion, et accuse l'Autre de ses propres défauts : impréparation notoire, amateurisme, absence de projet...

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