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Depuis presque vingt ans que j'habite Orléans, c'est la deuxième fois seulement que je découvre que le fleuve s'est couvert d'efflorescences de gel, comme de vastes nénuphars de glace dérivant au fil du courant et répondant — je l'ai appris il y a cinq ans — au joli nom de Frazil.
Le spectacle sera bref, mais il est enchanteur.
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